Le chemin alsacien passe à l’entrée de la ville

EGLISE SAINTE-CROIX

Dans le bas côté droit, sur un des piliers, une sculpture d’un saint Jacques couronnant, elle daterait de 1478.
De la main gauche il devait couronner un pèlerin, de la main droite, qui semble mal tournée actuellement,
il aurait tenu un bourdon, mais ces deux éléments ont disparu.

       

 

   Prédelle du retable du chœur de 1518

   

   

   

   

   

    

    

Saint Jacques tient un livre ouvert sur lequel est écrit le troisième verset du Credo des apôtres : « Qui conceptus est de Spiritu Sancto creatus ex Maria Virgine ». 

   

   

   

       

MUSÉE   

   

Groupe de quatre apôtres, du XVI°, avec saint Jacques à gauche il tient un livre c’est usuel, puis saint Pierre il est chauve, saint Jean il est jeune et saint André avec sa croix.  

   

   

   

   CROIX DITE DE LA PESTE

   

A la sortie de la ville au début de l’avenue Georges-Ferrenbach une croix de 1921 (par la société Klem de Colmar) avec un saint Jacques aux pieds du Christ.
C’est une copie de la croix de 1511, par Hans Bongart. Sur le socle de la croix il y a des coquilles Saint Jacques.

   

    

    

   GALERIE DU CIMETIÈRE MILITAIRE, À CÔTÉ DE L’ÉGLISE DE LA SAINTE-CROIX

   

    

L’original de 1511 dont la copie est l’avenue Georges-Ferrenbach.
La statue de saint Jacques a disparut il y a quelques années.

   

   

   

   

ELEMENTS DISPARUS

Eglise Sainte-Croix : Citée en 1478 un autel à saint Jacques avec une prébende de 6 Pfennig, disparition ?

Chapelle Saint-Jacques : Citée 1494, mais localisation inconnue, disparition ???

Confrérie : Des tonneliers ou de saint Jacques. Citée en 1571, elle était dédiée à la prière (Gebetsbruderschafft) crée en 1475 ou 1494, disparition ???

Chapelle Saint-Alexis  

Elle se trouve sur les hauteurs de Kaysersberg, le célèbre prédicateur de la cathédrale de Strasbourg, Geiler de Kaysersberg s’y recueillait régulièrement. Saint Alexis fut fiancé contre son gré, il s’est enfui pendant sa nuit de noce. Il alla à Edesse en Syrie, il y vécut comme mendiant sous les porches. Il devint trop populaire à son gré, il retourna à Rome, où il se réfugia sous l’escalier de ses parents, couvert de loques personne ne le reconnu, ni ses parents, ni sa fiancée. Il y resta dix-sept ans avant de mourir, le personnel de la maison parentale se moquait de lui en lui jetant des détritus et des eaux usées. Une voix céleste révéla sa mort et sa présence à l’empereur et au pape qui le trouvèrent mort sous l’escalier, il serrait dans sa main un écrit qui révélait ses origines.   

 Autel de la chapelle

   

  

  Plafond de la chapelle, sa coquille rappelle la Terre Sainte où il vécut.