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Sorties 2024
20-09-24 Sortie Willer Sur Thur(46 photos)
2024-06-09 Sortie à Reinhardsmünster(8 photos)
À la découverte des rochers-tables en grès des Vosges du Nord
Nous avions rendez-vous avec Paul, notre guide pour la journée, devant l’église de Rheinhardsmunster, un charmant village situé entre Marmoutier et Saverne. Paul nous a accueillis chaleureusement, nous, deux simples pèlerins accompagnés de notre chien, et nous a brièvement présenté l’itinéraire du jour. Nous allions explorer des lieux imprégnés de légendes...
Sous un ciel d’azur et un soleil radieux, nous avons commencé notre randonnée avec entrain. Roméo, notre fidèle compagnon à quatre pattes, ouvrait la marche. La montée progressive nous a conduits au Billebaum, un hêtre remarquable d’une circonférence impressionnante de 615 cm et âgé de 350 ans, dont il ne reste aujourd’hui que la partie basse du tronc.
Après une première pause rafraîchissante, nous avons poursuivi notre chemin vers la maison forestière de Haberacker, en traversant des sentiers ombragés, bercés par le chant des oiseaux et la beauté naturelle environnante. Nous avons continué notre ascension jusqu’à une clairière proche d’un site de décollage de parapentes. Une courte excursion à travers la prairie nous a permis d’admirer l’aiguille rocheuse de la Spille, haute de 9 mètres. Les formes sculptées par l’érosion ont éveillé notre imagination, et nous nous sommes amusés à deviner des visages humains dans la pierre. Paul nous a offert de délicieuses figues séchées, achetées au marché.
Après une montée modérée, nous sommes arrivés au Geissfels, le « Rocher de la Chèvre », une plateforme rocheuse vertigineuse tombant à pic sur une quarantaine de mètres. Roméo a prouvé qu’il n’avait pas le vertige ! La vue panoramique à 360° était spectaculaire, avec notamment une superbe perspective sur le rocher Saint Léon de Dabo. Un peu en dessous du sommet, Paul nous a montré une petite grotte difficile d’accès, avec des cupules devant l’entrée, témoignant de son utilisation comme lieu de culte.
Nous avons ensuite entamé une descente à travers les bois jusqu’à l’abri du Geissfelswasen, où nous avons été accueillis par un sympathique binôme. Ce lieu servait de point de ravitaillement pour les marcheurs participant à une marche populaire organisée ce jour-là au départ de Saverne. Ce fut une belle occasion de discuter avec d’autres randonneurs. L’endroit était parfait pour notre pause déjeuner, où nous avons savouré nos repas et partagé un cake aux framboises du jardin.
Reprenant notre marche, nous avons atteint la Table des Géants, une curiosité géologique impressionnante : un dolmen naturel de 3,5 mètres de long, 2,5 mètres de large et 1,8 mètre de hauteur. Nous nous sommes amusés à grimper sur cette table géante, découvrant les vestiges d’un bassin érodé. Paul nous a raconté l’histoire mystérieuse de ce site tandis que Frédéric tentait de soulever la pierre !
Notre prochaine étape fut le Carrefour de Kurtrain, un point stratégique des chemins de randonnée, avant d’arriver au Sattelsfels, une pierre antique de 2,50 mètres de haut en forme de menhir. Autour, d’autres mégalithes et des pierres à cupules évoquent un ancien lieu de culte celtique. Paul nous a partagé les légendes et la signification culturelle de cette pierre, supposée chargée d’énergie tellurique positive. Nous n’avons pas hésité à toucher la pierre pour nous ressourcer. Ce menhir sert également de borne frontière depuis au moins 1747, marquant la limite entre les territoires de l'abbaye de Marmoutier et du comté de Linange-Dabo. Les armoiries (le M avec la crosse d’évêque et les 3 aigles) sont encore bien visibles dans la roche, ainsi que 3 croix certainement gravées dans le but de conjurer l’endroit et de le christianiser.
Nous sommes revenus à notre point de départ vers 17h00, fatigués mais ravis de notre journée. Et Roméo a de suite fait un gros dodo. Un immense merci à Paul pour son partage de connaissances naturelles et culturelles. Nous avons vécu une journée pleine d’enthousiasme et de joie. Encore une fois, Saint Jacques était avec nous, MUCHAS GRACIAS Y ULTREIA !
2024-05-05 Sortie au Col Amic(17 photos)
Nous étions 5 personnes pour la sortie du 5 mai 2024 au départ du Col Amic pour un départ à 9h30 !
Météo très incertaine avec un peu de pluie, du brouillard et du vent en début de randonnée. Très rapidement, ciel bleu et soleil se sont imposés pour le restant de la journée.
Beau parcours débutant au-dessus de la ferme du Kohlschlag, passant par le Holzwasen à travers de belles forêts déjà bien verdoyantes (merci à la pluie bienfaisante). Descente sur Ste Anne puis sur Thierenbach où nous nous sommes installés confortablement pour notre pause déjeuner en plein air sous un beau marronnier. Avant de quitter Thierenbach, nous avons croisé un groupe de pèlerins sur le chemin alsacien. Bonne ambiance pèlerine et photos de groupe pour immortaliser ce moment d'émotion !
Retour par le gros chêne, la croix Zimmermann et rude montée le long de la cascade 'kaltenbach" jusqu'au col Amic.
Avant de nous quitter, nous nous sommes arrêtés à la ferme du Kohlschlag pour déguster la délicieuse tarte à la rhubarbe meringuée pour certains et le réputé siesskass pour d'autres.
Après l'effort, le réconfort !!!
Il nous restait encore à franchir la chaume au milieu de belles vaches vosgiennes avant d'arriver au parking.
Belle journée de partage et de bonne humeur.
Martine FRIESS
2024-04-21 Sortie Col du Hundsrück(40 photos)
Sortie du 21 avril 2024 sur les hauteurs à partir du Col du Hundsruck
Nouvelle formule de sortie en cette journée de printemps aux charmes d’hiver : la première partie -la marche- a réuni 18 vaillants pèlerins et amis, malgré un accueil sous une petite tempête de neige, la seconde partie -repas à l’auberge « La Fourmi »- a fait la joie de 26 joyeux convives.
Heureusement dame Météo nous a vite récompensés de notre détermination, laissant place à de beaux rayons de soleil illuminant parfois un paysage féerique, saupoudré de neige, sous des nuages artistiquement disposés autour de quelques trouées de ciel bleu. Les sapins se paraient d’élégantes dentelles neigeuses, tandis que les jeunes pousses des feuillus -sans doute surprises de cette première rencontre avec la neige ! – égayaient le décor de leur tendre vert printanier. Magnifique ! Et nous avions le privilège d’évoluer dans cet étonnant théâtre où l’hiver et le printemps donnent ce spectacle éphémère d’une rencontre inattendue ! Alors peu importe s’il faisait un peu froid, d’ailleurs les raidillons nous réchauffaient vite… Peu importent aussi les petites averses de grésil, elles ne mouillent guère et n’altèrent en rien le moral du pèlerin !
C’est ainsi que dans la joie et la bonne humeur, nous riant des intempéries, tentant de prendre des photos de pèlerins inédites (comme si nous étions encordés à l’assaut de l’Himalaya !) nous sommes montés à la ferme-auberge du Thannerhuebel (fermée, mais la bière fraîche ne s’imposait pas… le responsable des lieux dégageait la neige de la terrasse, avec le sourire…), puis au refuge du Skiclub de Thann. Enfin, nous avons gagné la table d’orientation à 360° (près de 1100m d’altitude) face au Thannerhuebel, admiré le panorama vers le Grand Ballon, la plaine d’Alsace et au-delà vers la Forêt Noire. Non, dire qu’on a vu les Alpes eût été mensonger, mais rien n’empêchait de les imaginer derrière les nuages !
Ultreïa! Suseïa! Le sommet n'est pas loin!
Il ne nous restait alors qu’à redescendre, en passant par la place du Nussbaum, traversant de belles forêts parées de neige… pour retrouver à l’auberge les amis qui ne pouvaient pas faire la marche.
Là aussi, l’ambiance était des plus sympathiques, entre la joie des retrouvailles et le plaisir d’un bon repas bien arrosé, ingrédients très sûrs d’un bon moment partagé qui finit en chansons. Ultreïa !
2024-04-14 sortie Ottrott_Saint Odile(29 photos)
Sortie en petit comité, avec une météo très agréable. Nous nous sommes retrouvés à 7 personnes pour effectuer un circuit d'environ 15 Km tout en monté le matin et donc tout en descente l'après midi.
Première étape, les ruines du château de Rathsamhausen dont un descriptif suit:
(descriptif wikipédia) Le château de Rathsamhausen est un ancien château fort du XIe siècle, de nos jours ruiné, dont les vestiges se dressent sur la commune française d'Ottrott.
La tour-donjon a fait l'objet d'une campagne de restauration en 2019.
Historique
L'endroit a sans doute été occupé au XIe siècle par une construction en bois. Un édifice fut construit en pierres après un incendie en 1100, il fut détruit de nouveau par un incendie vers 1250. Le grand donjon rectangulaire fut édifié vers 1200 avec une enceinte du logis peu de temps après. Le site est démembré au début du XIIIe siècle et un fossé va isoler le donjon. Le château prendra le nom de Hinterlutzelbourg et Rathsamhausen dès 1561. Un renforcement du mur de la courtine et un donjon rond sont faits en réaction au château de Lutzelbourg, dénommé auparavant Vorderlutzelbourg. Au XIVe siècle, l'enceinte est finie, le château de Lutzelbourg est racheté en 1392 par la famille de Rathsamhausen après un incendie et est rebâti vers 1400. Les armoiries sont alors situées dans le logis. Il subit des travaux au XVe siècle, notamment sur les parties hautes des fausses braies, de l'avant porte et de la barbacane. Les châteaux sont ensuite abandonnés au XVIe siècle et début du XVIIe siècle avant de recevoir une restauration et une consolidation au XIXe siècle. Des travaux historiques justifient les datations.
Nous continuons notre montée pour prendre notre repas au Saint-Odile sous un beau soleil. Pendant ce périple, nous avons longé en partie le mur Païen dont l'histoire est très controversée.
Le « mur païen » est le vestige d'un mur d'enceinte édifié entre les années 675 et 681 autour d´un couvent mérovingien fondé par sainte-Odile, l' abbaye de Hohenbourg, sur le mont saint-Odile, qui surplombe la plaine d'Alsace
Description
Le mur païen est une enceinte d'une longueur totale de onze kilomètres faisant le tour du plateau du mont Sainte-Odile. Formé d'environ 300 000 blocs cyclopéens, il fait entre 1,60 m et 1,80 m de large et peut atteindre trois mètres de hauteur.
De retour au parking nous avons pris la décision d'effectuer une dégustation de vin dans une cave à Ottrott que connait notre accompagnateur du jour Paul.
Merci pour cette journée.
Jean Jacques
2024-04-07 Sortie Hahnenberg(26 photos)
Ce dimanche 7 avril 2024 a réuni peu de monde sur les chemins du Hahnenberg, sous la bienveillante houlette de notre guide Francis. Mais comme souvent, la qualité a remplacé la quantité, et nous avons passé une excellente et joyeuse journée, par une température presque estivale, peu courante pour un début d’avril !
Nous avons profité des précieuses explications de Francis qui nous a fait revivre Châtenois à différentes époques, depuis le temps des Romains avec les anciens bains à l’emplacement où de nos jours de nos jours se trouve un Ehpad, jusqu’à l’époque du téléphérique qui permettait de faire descendre du Hahnenberg des pierres qu’on acheminait ensuite sur des barques à fond plat sur l’Ill … Avec beaucoup d’entrain aussi, s’appuyant sur son expérience de pompier, il nous a partagé les sensations qu’on peut avoir dans le clocher, quand les cloches font vibrer toutes les boiseries… Avec lui, nous avons un peu vécu les légendes autour de la mystérieuse source du Jeriabrunne et les traditions des conscrits sur la place du 1er mai ou celles, plus dévotes, à la Chapelle de l’Aigle. Enfin, après avoir dépassé la montagne des singes, nous avons fait une pause devant le mémorial du crash du bombardier américain B24 abattu par un avion de chasse allemand le 18 mars 1944.
A tout cela s’ajoutaient les informations complémentaires données par André dans le domaine de la botanique, en particulier sur l’éranthis du Landsberg (importée des croisades par les seigneurs du Landsberg ?) et les intéressants récits d’Alain sur sa vie en Nouvelle Calédonie !
Le cadre essentiellement forestier (avec quelques panoramas) était très accueillant, baigné d’une lumière douce qui mettait en valeur le vert tendre des jeunes feuilles sur les arbres, sur fond sonore de joyeux chants d’oiseaux. Les cyclistes et coureurs du dimanche matin qui nous dépassaient ou nous croisaient avaient le sourire aux lèvres et souvent quelques mots sympathiques pour nous.
L’ambiance était des plus agréables, et les échanges allaient bon train, mode humour et bienveillance… bref, le Chemin !
Tout en marchant, nous avons fait plus ample connaissance, tout en plaisantant gentiment toujours, et force nous a été de constater que nous étions faits pour nous entendre, appartenant (à 4 sur 7) au meilleur cru des Babyboomers, celui de l’an 1949 ! Au milieu de nous, revenu pour un temps de la Nouvelle Calédonie où il s’est installé, un des meilleurs vétérans de Saint Jacques, Alain, qui nous a fait l’amitié de partager cette sortie ! Nous espérons que les deux jeunes « novices » du chemin qui nous accompagnaient -invitées au dernier stammtisch- ont été « boostées » pour leur prochain départ ! Ultreïa ! et merci, Francis !
2024-03-17 sortie avec AF-CCC(1 photos)
Pour cette sortie commune, le compte rendu se trouve sur le site web de nos amis Franc-Comtois.
ASJA en images(15 photos)
2024-02-11 sortie Kayserstuhl(49 photos)
Encore une fois Saint-Jacques était avec nous. Toutes les prévisions météo depuis une semaine, nous promettaient de la pluie. Que néni, belle journée certes avec un peu de vent, pour accompagner nos 16 marcheurs bien décidés à affronter un beau dénivelé dans le Kayserstuhl, une montagne moyenne en Allemagne. 8 km et 400 mètres de dénivelé avec de belles vues sur l’Alsace et les Vosges.
La géologie du terrain nous a fait emprunter des chemins appelés « chemins creux ». Les chemins creux ont été créés par l'érosion du lœss. Les gens empruntaient toujours les mêmes chemins pour se rendre à leurs vignobles, jardins. Avec des charrettes à bœufs, le squelette de chaux (teneur en chaux du lœss d'environ 30 %) s'effritait et les fortes pluies creusaient le chemin plus profondément. Ainsi, des gorges d'une profondeur pouvant atteindre 25 m se sont formées au fil des siècles. Ce texte a été copié sur le site : naturgarten-kaiserstuhl.
Notre guide du jour, Jean Louis avec son épouse Dominique, nous ont guidé sur ces sentiers. Merci à eux.
A 13h30, nous nous sommes retrouvés au 1 rue de l’école pour nous substanter avec une bonne soupe bien chaude préparée par notre hôtesse du jour, nos casse-croûtes et une multitude de desserts que les participants ont amené.
2 personnes supplémentaires nous ont rejoint pour prendre le repas et passer un après midi convivial au soleil.
Ce texte a été copié sur le site Wikipédia :
Le Kaiserstuhl est un massif de montagnes moyennes d'origine volcanique situé dans le Sud-Ouest du Bade-Wurtemberg, en Allemagne. Son sommet le plus élevé est le Totenkopf avec 557 mètres d'altitude.
Le Kaiserstuhl (en français: «chaise de l'Empereur») doit probablement son nom au roi Otton III, qui a présidé à une journée de jugements près de Sasbach en 994, soit deux ans avant son couronnement en tant qu'empereur.
Le Kaiserstuhl se trouve dans le sud du pays de Bade, légèrement au nord-ouest de Fribourg-en-Brisgau, et directement sur la rive droite du Rhin, dans la plaine du Rhin supérieur (plaine d'Alsace). Son altitude moyenne est de 355 m.
Dans sa plus grande étendue, entre Ihringen dans le sud-ouest et Riegel dans le nord-est, le Kaiserstuhl a une longueur de 16 km. Sa plus grande largeur est de 12,5 km.
Le Totenkopf (557 m) avec Neunlinden, Eichelspitze (520 m) et Katharinenberg (492 m) sont les plus grandes élévations de ce massif. La réserve naturelle Badberg dans le centre — entre Schelingen, Oberbergen et Alt-Vogtsburg — est le foyer de nombreuses plantes rares, comme des orchidées, permettant d'effectuer de nombreuses randonnées pédestres avec des vues splendides sur la Forêt-Noire, la plaine d'Alsace et les Vosges.
Géologie:
Le Kaiserstuhl a une structure hétérogène : la partie ouest du massif est d'origine volcanique de l'ère tertiaire alors que sa partie située à l'est fait partie des contreforts de la Forêt-Noire. Un écoulement souterrain latéral explique la présence de phonolithe, mise au jour par l'érosion, dans la zone des contreforts composée de couches calcaires. Le lœss, un sédiment qui trouve son origine dans la dernière période glaciaire, recouvre le Kaiserstuhl sur une épaisseur de 10 à 40 m.
Flore et faune:
Le climat du Kaiserstuhl explique la présence importante d'espèces animales et végétales aimant la chaleur. Le massif du Kaiserstuhl est, par exemple, l'un des lieux qui présente la plus grande diversité d'orchidées en Europe avec plus de 30 espèces recensées. Entre les vignes poussent des muscaris sauvages et sur les talus fleurissent des iris. Ici vivent également des lézards verts et des mantes religieuses (Mantis religiosa), des espèces qu'on trouve également dans la plaine d'Alsace voisine mais qui sont habituellement plutôt familières dans le bassin méditerranéen.
Économie:
La vigne au pied du Totenkopf, à Bickensohl. Le loess est bien visible en haut, à gauche.
Tout autour du Kaiserstuhl on cultive la vigne et les vins qu'on y produit bénéficient d'une renommée internationale. Les vignobles, qui appartiennent soit à des caves coopératives, soit à des particuliers, recouvrent la majeure partie des surfaces dégagées du massif. Grâce au sol composé de Lœss, la vigne y croît bien. Les villages viticoles les plus connus sont Ihringen, Achkarren, Bickensohl, Oberrotweil, Oberbergen, Bischoffingen et Kiechlinsbergen.
Transformation du paysage et ses conséquences:
Le terrain du Kaiserstuhl fut modifié de tous temps par les hommes car le lœss qui le recouvre est très sujet à l'érosion quand on le travaille. Des terrasses ont dû être aménagées très tôt pour permettre l'exploitation agricole de cette terre fertile. Ces terrasses sont aujourd'hui majoritairement utilisées pour la culture de la vigne mais on les utilise parfois aussi pour la culture d'arbres fruitiers ou des légumes.
2024-01-21 sortie Luemschwiller(42 photos)
Première sortie de l'année 2024 : une belle balade d'une douzaine de kilomètres dans les petits vallonnements du Sundgau qui nous a offert tour à tour, et parfois même en même temps, une superbe vue sur les Alpes suisses, le Jura et la Forêt Noire. Le froid et les nuages du matin ont vite laissé place à une belle lumière d'hiver et les champs, les chemins, les arbres avaient gardé une élégante dentelle de neige du meilleur effet.
Nous étions 13 pèlerins au départ, dont 4 vaillants bas-rhinois... Allez, les pèlerins du Nord de l'Alsace, joignez-vous à nous !
Les premiers écrits sur Willer datent de 1191. En 1357, le chapitre de St Amarin a cédé à l’abbaye la cour qu’elle possédait à Willer. Le nom figure sous différentes orthographes : Wilr, Wilre et en 1550, Wieler ou Weiler et même Sankt Weiler (abréviation de Weiler de St Amarin).