Nouvelles des Amis -
Concert au couvent de Bellemagny - par Webmestre le 2025/05/27 # 10:25
Invitation au Concert du Chœur d’Hommes Liederkranz
Chapelle du Couvent de Bellemagny – Dimanche 1er juin 2025 à 16h
Chère Madame, Cher Monsieur,
Un petit mot pour vous exprimer combien Mère Mirjam, prieure, les Sœurs et les bénévoles seraient ravies de vous accueillir au concert donné par le Le Chœur d’Hommes Liederkranz d’Attenschwiller, dimanche le 1er juin 2025 à 16h, à la Chapelle du Couvent de Bellemagny (68210).
L’entrée est gratuite. Un panier circulera au bénéfice du Couvent et, le verre de l’amitié vous sera offert à l’issue du concert.
Le Chœur d’Hommes Liederkranz (« le Cercle de Chants ») rassemble aujourd’hui des hommes unis par l’amitié et animés par la passion du chant. Les choristes ont pour ambition de faire découvrir et promouvoir le chant choral masculin à travers un répertoire varié, tant au niveau des genres que des langues.
Ainsi, le chœur interprétera des chants en langue maternelle, mais aussi en italien, russe et anglais.
Le Chœur est très sollicité dans notre région alsacienne, ainsi qu’ailleurs en France (Toulon, Nantua, Blamont…) mais également en Allemagne, en Suisse et en Autriche.
Il serait trop long de citer tous les événements marquants qui ont rythmé la vie du chœur, mais vous en découvrirez davantage dimanche prochain.
Je ne peux toutefois m’empêcher de vous partager dès à présent qu’en 2022, le Chœur d’Hommes Liederkranz a célébré ses 110 ans d’existence !
À cette occasion, il avait donné un grand concert « Best Of Mosaïque des 110 ans ».
Toutes nos félicitations à ce chœur centenaire qui, plus récemment, en juillet 2023, a participé au Festival International du Lac de Garde à Vérone, aux côtés d’une trentaine d’autres chorales.
Un grand merci pour votre soutien.
Au plaisir de vous retrouver bientôt !
Bien cordialement,
Suzanne Weiss
Bénévole, Présidente de l’Association Les Amis du Couvent

(2025/05/27 # 10:25)
Les Aléas du Chemin - par Webmestre le 2025/05/19 # 09:43
La plupart du temps, à la sortie de nos Stammtisch (réunions d’informations), les futurs pèlerins se sentent pleins d’enthousiasme et n’ont qu’une hâte: goûter à ce Chemin dont nous leur avons vanté les charmes, l’ambiance amicale, les rencontres, la beauté des paysages, le changement intérieur qui se pro-
duit en chacun... Et c’est très bien!
Mais on aura beau multiplier les conseils, le crémage des pieds, l’entraînement avec le sac, le sac le plus léger possible, les débuts progressifs, les pauses conseillées etc., on parle très peu des aléas, des difficultés. Et pourtant….
En 201
3, lors de notre premier chemin, nous avions à peine quitté l’Alsace que je commençais
Là-bas, il me restait donc du temps pour écrire une petite prière… à ma fesse! Il vaut mieux
Les choses se sont arrangées progressivement, tous les hébergeurs et les quelques pèlerins
Sur le chem
in, on entend souvent parler de tendinites et autres problèmes nécessitant quelques jours d’arrêt… Parfois, il faut même repousser à bien plus tard l’arrivée à Santiago.
Avec des genoux dans cet état, il vaut souvent mieux différer!
Les ampoules, elles aussi, peuvent vite devenir un méchant frein à la progression sur le chemin. Très récemment, j’ai vu une jeune pèlerine allemande qui avait réussi à cumuler en 3 jours 9 ampoules sur ses orteils! Impossible de remettre ses chaussures dans ces conditions!
Non, tout n’est pas toujours rose sur le chemin… Les difficultés en font partie, mais nos souvenirs ne gardent que le meilleur!
La déception et le découragement font donc aussi partie du chemin… Mais les difficultés ont aussi un rôle
bénéfique.
Saint Jacques est patient, nous le savons bien, il nous attendra, et des anges gardiens veillent sur notre chemin: dans les moments difficiles, étrangement, même si j’étais seule sur le chemin, il y a toujours eu quelqu’un qui s’est présenté tout à coup pour me soutenir, ou pour m’aider à prendre la décision qui s’imposait.
Un jour, après une longue marche solitaire toute une journée, alors que je n’avais eu pour compagnie que celle des belles vaches normandes, j’ai dû faire face à la pluie, et quand on est seul, pas évident d’enfiler une cape de pluie par-dessus un sac à dos! C’est alors que, à ma plus grande surprise j’entends une voix joyeuse derrière moi: « Vous avez besoin d’aide? ». Oh, que oui! Et voilà deux jeunes filles sorties de je ne sais où qui tirent doucement sur ma cape rebelle pour qu’elle me protège un peu mieux!
Une autre fois, sur un autre chemin sans pèlerins visibles, alors qu’un de mes genoux se met à faire douloureusement de l’opposition, tout à coup un pèlerin surgit… Il me donnera de sa crème anti-inflammatoire et marchera avec moi jusqu’à ce que je sois à l’abri. Et on pourrait citer bien des situations analogues...
Et que dire des paroles encourageantes et consolatrices que l’on peut entendre quand ça va mal et qu’on a bien de la peine à décider d’arrêter, de remettre à une autre fois le reste du chemin?
Merci à Philippe qui m’a plus ou moins prise en charge et accompagnée jusqu’au bus de retour en France
en 2014!
Merci, plus récemment, à ce couple d’américains qui, guide en mains, avec beaucoup de gentillesse, m’a bien confortée dans l’idée que le Norte n’était pas faisable avec un genou fêlé! Je le savais bien, mais ils étaient là, pour m’aider à prendre la décision et me réchauffer le cœur. Buen camino à eux et adios sur ce chemin!
Finalement, la beauté du chemin est certes dans la beauté des paysages, mais surtout dans la chaleur humaine, la solidarité et l’amitié entre pèlerins, qui ressort plus dans les difficultés…
Tout cela me rappelle cet employé dans une auberge sur le chemin du piémont, qui ne savait rien du chemin, à qui nous avions bien expliqué ce qui se passait sur le chemin, et qui, au moment de notre départ, nous avait dit: « Merci, grâce à vous je crois de nouveau un peu plus en l’humanité »!
Oui, l’humanité est bien meilleure que tout ce que l’on peut lire dans les médias, et le chemin a ce grand mérite de réveiller et de mettre en lumière ce qu’il y a de meilleur en nous, la solidarité, l’ouverture à l’autre, l’amitié… C’est ce qui fait que tout chemin, même perturbé ou interrompu par des « désagréments » physiques, ou autres, apporte quelque chose de positif au pèlerin, une éclairage magnifique, une chaleur de vie, une espérance qui le marquera profondément.
Mea culpa, nostra maxima culpa…. ou les aléas du Chemin.
La plupart du temps, à la sortie de nos Stammtisch (réunions d’informations), les futurs pèlerins se sentent pleins d’enthousiasme et n’ont qu’une hâte: goûter à ce Chemin dont nous leur avons vanté les charmes, l’ambiance amicale, les rencontres, la beauté des paysages, le changement intérieur qui se pro-
duit en chacun... Et c’est très bien!
Mais on aura beau multiplier les conseils, le crémage des pieds, l’entraînement avec le sac, le sac le plus léger possible, les débuts progressifs, les pauses conseillées etc., on parle très peu des aléas, des difficultés. Et pourtant….
En 201

à raccourcir singulièrement mes pas, jusqu’à l’arrêt complet: diagnostic: une méchante bursite
à la fesse qui a nécessité un arrêt de quelques jours en Franche-Comté, mais qui nous a permis
aussi de découvrir les petits miracles du chemin: dans la salle d’attente du médecin se trouvait
une dame très gentille qui s’est immédiatement proposée pour nous véhiculer à la pharmacie puis
au camping où je devais prendre du repos!
Là-bas, il me restait donc du temps pour écrire une petite prière… à ma fesse! Il vaut mieux
en rire!
Les choses se sont arrangées progressivement, tous les hébergeurs et les quelques pèlerins
rencontrés ont tenté de m’aider avec des encouragements, des conseils, des crèmes (merveilleuse solidarité!)…
et le mal s’en est allé!
Sur le chem

Avec des genoux dans cet état, il vaut souvent mieux différer!
Les ampoules, elles aussi, peuvent vite devenir un méchant frein à la progression sur le chemin. Très récemment, j’ai vu une jeune pèlerine allemande qui avait réussi à cumuler en 3 jours 9 ampoules sur ses orteils! Impossible de remettre ses chaussures dans ces conditions!
Non, tout n’est pas toujours rose sur le chemin… Les difficultés en font partie, mais nos souvenirs ne gardent que le meilleur!
La déception et le découragement font donc aussi partie du chemin… Mais les difficultés ont aussi un rôle
bénéfique.
Saint Jacques est patient, nous le savons bien, il nous attendra, et des anges gardiens veillent sur notre chemin: dans les moments difficiles, étrangement, même si j’étais seule sur le chemin, il y a toujours eu quelqu’un qui s’est présenté tout à coup pour me soutenir, ou pour m’aider à prendre la décision qui s’imposait.
Un jour, après une longue marche solitaire toute une journée, alors que je n’avais eu pour compagnie que celle des belles vaches normandes, j’ai dû faire face à la pluie, et quand on est seul, pas évident d’enfiler une cape de pluie par-dessus un sac à dos! C’est alors que, à ma plus grande surprise j’entends une voix joyeuse derrière moi: « Vous avez besoin d’aide? ». Oh, que oui! Et voilà deux jeunes filles sorties de je ne sais où qui tirent doucement sur ma cape rebelle pour qu’elle me protège un peu mieux!
Une autre fois, sur un autre chemin sans pèlerins visibles, alors qu’un de mes genoux se met à faire douloureusement de l’opposition, tout à coup un pèlerin surgit… Il me donnera de sa crème anti-inflammatoire et marchera avec moi jusqu’à ce que je sois à l’abri. Et on pourrait citer bien des situations analogues...
Et que dire des paroles encourageantes et consolatrices que l’on peut entendre quand ça va mal et qu’on a bien de la peine à décider d’arrêter, de remettre à une autre fois le reste du chemin?
Merci à Philippe qui m’a plus ou moins prise en charge et accompagnée jusqu’au bus de retour en France
en 2014!
Merci, plus récemment, à ce couple d’américains qui, guide en mains, avec beaucoup de gentillesse, m’a bien confortée dans l’idée que le Norte n’était pas faisable avec un genou fêlé! Je le savais bien, mais ils étaient là, pour m’aider à prendre la décision et me réchauffer le cœur. Buen camino à eux et adios sur ce chemin!
Finalement, la beauté du chemin est certes dans la beauté des paysages, mais surtout dans la chaleur humaine, la solidarité et l’amitié entre pèlerins, qui ressort plus dans les difficultés…
Tout cela me rappelle cet employé dans une auberge sur le chemin du piémont, qui ne savait rien du chemin, à qui nous avions bien expliqué ce qui se passait sur le chemin, et qui, au moment de notre départ, nous avait dit: « Merci, grâce à vous je crois de nouveau un peu plus en l’humanité »!
Oui, l’humanité est bien meilleure que tout ce que l’on peut lire dans les médias, et le chemin a ce grand mérite de réveiller et de mettre en lumière ce qu’il y a de meilleur en nous, la solidarité, l’ouverture à l’autre, l’amitié… C’est ce qui fait que tout chemin, même perturbé ou interrompu par des « désagréments » physiques, ou autres, apporte quelque chose de positif au pèlerin, une éclairage magnifique, une chaleur de vie, une espérance qui le marquera profondément.

Merci, Saint Jacques et viva camino!
Ultreïa, quel que soit le chemin qui suivra!
Ultreïa, quel que soit le chemin qui suivra!
Marylène
(2025/05/19 # 09:43)
Des nouvelles de nos adhérents - par Webmestre le 2025/05/04 # 10:02

Martine et Christiane continuent leur chemin vers Saint-Jaques. Quelques nouvelles:

Ça y est pour nous (Christiane &moi) c’est le départ depuis BELFORT jusqu'à Nuit St Georges sur le chemin de Saint-Jacques-de-Compostelle
J'essaierai de te donner des news régulièrement avec 4 photos (choix difficile vu q je mitraillette) et qq points forts (on pourra toujours faire un résumé + détaillé par la suite)...
BIG bizzz
Taxi du ♡ avec Evelyne et Jean-Paul depuis Kilstett, chant "Ultreïa" sur le quai de gare de Strasbourg. Ptit dèj royal dans le train. Rencontre de Damien à la gare de Mulhouse, train avec lui jusqu'à Belfort, nos chemins se recroiseront certainement, il va jusqu'au Puy. Visite de la citadelle de Belfort avec le Lion. Pic-nique dans 1 parc très vert .Marche pour sortir de la ville puis paysages + champêtres par une journée très ensoleillée. Arrivée à Héricourt : super accueil par Marie & Ludovic (donativo) bonne douche, excellent repas partagé, bon dodo.


Aussi halte dans une ferme sur le chemin pour eau et achat de 6 œufs

Petit déjeuner copieux à 7h30 avec Marie.
Direction boulangerie où on a acheté 1/2 baguette +salade) Ptite discussion avec restauratrice sur place, on est rentré dans église d'Héricourt
(monsieur avec béquilles aurait aussi aimé faire le chemin)
Piste cyclable bien balisée et bancs avec graffitis zob, pause du matin en face d'1 étang, chemin puis pour pique-nique de midi on s'est arrêté à l'ombre dans la forêt (vu 1 tique), après midi bien ensoleillée en traversant village où nous avons demandé de l'eau (gens gentils!) homme indiquant bonne direction (trèfles) monsieur dans voiture avec un grand bonjour a failli faire une sortie de route en regardant le rétro (Hihi, j'étais en jupe aujourd'hui)
Chemin de terre, traversé de champs avec vaches, paysages très verts, vers 18h à Saulnot, fatiguées des 23km au soleil, notre hôte du gîte nous a cherché en voiture : Christelle, dame au caractère bien trempé qui aime ses animaux (chevaux, chat, chien Lili..)
2 autres pèlerins Anouchka&Richard d'origine polonaise de Strasbourg allant jusqu'à Santiago, on a mangé ensemble (omelette..) et dormi comme des anges.
Martine




(2025/05/04 # 10:02)
Nouveau départ Camino Norte - par Webmestre le 2025/04/29 # 18:24
Ce matin j'ouvre le blog de notre amie Marylène. J'ai adoré son entame de voyage et donc je lui est demandé l'autorisation de publier ce texte. Vous pouvez suivre le périple de Marylène en cliquant sur la flèche suivante:
Retrouvailles avec le Chemin, avec toujours la même question: pourquoi?
Mais la réponse arrive doucement...
-
J'essaie toujours de terminer ce que j'ai commencé: je suis partie de Paris pour le Mont-Saint-Michel, depuis le Mont j'ai emprunté des chemins tranquilles et quasi déserts jusqu'à Rennes, Nantes, Arcachon, Bayonne, et je me suis arrêtée à Saint Sébastien en 2024: il n'y a plus que "ce qui reste" jusqu'à Santiago, de l'ordre de 7 à 800 kilomètres...
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Un jour sur le Camino primitivo, j'ai rencontré un "vieux" (non, il n'était pas vieux...) canadien de 76 ans, Marcel, qui se félicitait tous les soirs d'être encore arrivé à l'étape malgré quelques difficultés à monter les côtes. Et un jour il m'a demandé mon âge (70 à l'époque), 6 de moins que lui... Et il m'a répondu : "tu vois, tu as encore 6 ans devant toi !" Aujourd'hui j'arrive donc à la fin de sa "garantie"... Allez, mon brave Marcel, je marcherai en pensant à toi !
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La troisième raison, et sans doute la meilleure, pourrait se résumer avec une image... une coquille qui m'a interpellée l'été dernier, décorée par les soins de soeur Marie rencontrée au Puy en Velay:

Une coquille, symbole du pèlerin... un ciel bleu, symbole de la lumière vers laquelle nous tendons tous... Une colombe, légère, comme le pèlerin qui se décharge de ses entraves, de ses angoisses, une colombe qui s'envole, comme le pèlerin vole vers un peu de liberté... sans compter que la colombe est depuis bien longtemps symbole de paix... Pèlerin, comme la colombe, savoure la paix du chemin, et surtout va semer la paix autour de toi!
"Vienne, vienne la colombe, et son rameau d'olivier,
Dans nos coeurs et dans ce monde, où la paix reste à gagner."
chante J-C. Gianadda
La paix, c'est bien ce que nous cherchons sur le chemin, la paix du corps puisqu'on se porte en général mieux sur le chemin, la paix du coeur qui fait taire ses soucis, ses rancunes, ses pensées douloureuses, et la paix dans nos relations avec les amis pèlerins que nous cotoyons, avec qui nous partageons, nous échangeons... l'occasion de mettre un peu en pratique, puisque les circonstances me poussent à l'évoquer, les dernières réflexions du pape François qui a tant prôné la paix, et que je me permets de citer ici, car ça "colle" si bien avec les objectifs du pèlerin:
Dernier message du Pape François
« Vous pouvez avoir des défauts, être anxieux et même être en colère, mais n'oubliez pas que votre vie est la plus grande entreprise du monde. Vous seul pouvez l'empêcher de faire faillite. Beaucoup vous apprécient, vous admirent et vous aiment.
N'oubliez pas qu'être heureux, ce n'est pas avoir un ciel sans orage, une route sans accident, un travail sans fatigue, des relations sans déceptions.
Être heureux, c'est trouver de la force dans le pardon, de l'espoir dans les batailles, de la sécurité dans la peur, de l'amour dans la discorde. Ce n'est pas seulement pour apprécier le sourire, mais aussi pour réfléchir sur la tristesse. Il ne s'agit pas seulement de célébrer les succès, mais de tirer les leçons des échecs. Il ne s'agit pas seulement de se sentir heureux avec les applaudissements, mais d'être heureux dans l'anonymat.
Être heureux n'est pas une fatalité du destin, mais un exploit pour ceux qui peuvent voyager en eux-mêmes. Être heureux, c'est cesser de se sentir victime et devenir l'auteur de son destin. C'est traverser des déserts, mais pouvoir trouver une oasis au fond de notre âme. C'est remercier Dieu pour chaque matin, pour le miracle de la vie.
Être heureux, c'est ne pas avoir peur de ses propres sentiments. C'est pour pouvoir parler de toi. C'est avoir le courage d'entendre un "non". C'est la confiance face aux critiques, même injustifiées. C'est embrasser ses enfants, chouchouter ses parents, vivre des moments poétiques entre amis, même quand ils nous font mal.
Être heureux, c'est laisser vivre la créature qui vit en chacun de nous, libre, joyeuse et simple.
C'est avoir de la maturité pour pouvoir dire : « j'ai fait des erreurs ».
C'est avoir le courage de dire "je suis désolé".
C'est avoir la sensibilité de dire "j'ai besoin de toi".
C'est avoir la capacité de dire "je t'aime".
Que votre vie devienne un jardin d'opportunités de bonheur...
Qu'au printemps soit un amoureux de la joie. En hiver, un amoureux de la sagesse.
Et quand vous faites une erreur, recommencez.
Car alors seulement vous serez amoureux de la vie. Vous découvrirez qu'être heureux, ce n'est pas avoir une vie parfaite. Mais utilisez les larmes pour irriguer la tolérance.
Utilisez vos pertes pour entraîner la patience.
Utilisez vos erreurs pour sculpter la sérénité.
Utilisez la douleur pour plâtrer le plaisir.
Utilisez des obstacles pour ouvrir des fenêtres d'intelligence.
N'abandonnez jamais .... N'abandonnez jamais les gens qui vous aiment. Ne renoncez jamais au bonheur, car la vie est un spectacle incroyable. »
Après toutes ces réflexions , debout! Haut les cœurs ! Ultreïa ! Demain, je marche, en pensant de tout cœur à ceux qui sont empêchés de marcher pour toutes sortes de raisons, un pèlerin, ça prie avec ses pieds, ça au moins je sais encore faire !
(2025/04/29 # 18:24)
Demande particulière d'un adhérent - par Webmestre le 2025/04/17 # 10:15
Le comité de l'association des Amis de Saint-Jacques vous fait part d'une demande émanant d'un de nos adhérents.
A vous de voir et de le contacter.
A vous tous, chers amis jacquaires,
Notre ami pèlerin, Antoine Guepratte, est parti seul de Wahlenheim jusqu’à Cluny.
Se sentant rassuré accompagné après une chute en vélo, il cherche un compagnon de chemin au départ de Cluny qui souhaiterait l’accompagner afin de pouvoir poursuivre ce chemin.
Ses coordonnées :
Antoine Guepratte 8 rue des Prés à 67170 Wahlenheim
Adresse mail : Antoine.guepratte@gmail.com
Portable : 06 68 89 56 50
Un chaleureux merci pour toute personne désireuse de partager le chemin avec lui.
(2025/04/17 # 10:15)
Dernière mise à jour : 2025/05/31 # 22:19